Les cultissimes cavaliers de l'apocadispe envahissent, une nouvelle fois, votre Spirou. Aux manettes de ce trio infernal, Libon se livre pour une interview en mode "culottes courtes" !
Tes meilleures "grandes vacances" c’étaient... ?
Toutes ! Petit, on a une notion du temps un peu bizarre : dans mes souvenirs, j'ai l'impression que les vacances, c'était six mois à fabriquer des cabanes et faire n'importe quoi.
Tes enfants sont-ils une source d'inspiration ?
Je croise les doigts pour que ce ne soit jamais le cas ! Il y a parfois des histoires "inspirées de faits réels" que des gens m'ont racontées, mais ce sont souvent des détails. Les cavaliers, j'ai juste à les mettre dans une situation et les laisser faire, ils se débrouillent tout seuls.
Quels autres héros de papier ou animés t'ont-ils inspiré ?
Il y a beaucoup du Club des cinq dans mes histoires, avec des personnages moins doués. Un peu de dessins animés de Warner, comme Bip-Bip et Coyote pour le côté "on se fait trrrrès mal mais en fait ça va", et plein d'influences de mes lectures de bande dessinée, mais aussi Gary Larson, le Muppet Show, les Monty Python...